Les Méthodes PEAT pour dépasser les blocages sexuels et retrouver une sexualité épanouie

Pour certains et certaines d'entre nous, l’acte sexuel est un moment d’abandon, de plaisir et de détente, quand pour d'autres, il peut générer beaucoup d’émotions confuses : anxiété, culpabilité, honte, frustration etc. Si vous ressentez un sentiment de blocage lorsqu'il s’agit d’intimité, c’est qu’il est peut-être temps de vous faire accompagner pour vous donner le droit de redécouvrir le plaisir des sens. Faisons le point sur ces troubles, pour mieux les dépasser.

 

Blocages sexuels : des causes multiples

Un blocage sexuel n’empêchera pas forcément de faire l'amour, mais empêchera d’apprécier tout ou partie de l’expérience.

 

Les blocages peuvent se manifester de façons diverses et prendront bien évidemment des formes différentes que l’on soit un homme ou une femme : manque de désir, érection insuffisante, absence de lubrification, dégoût ressenti envers le sexe, douleurs pendant les rapports, difficultés à éjaculer, à atteindre le plaisir, etc...

 

 

Les blocages peuvent parfois avoir une origine complètement physiologique et médicale (problèmes hormonaux, diabète, artères bouchées etc.) mais le plus souvent, lorsque l’on parle de blocages, ceux-ci sont d'origines psychologiques. Ces blocages vont entrainer chez la personne une sensation de ne pas être normale ou de dysfonctionner dans sa sexualité. 

 

Quels sont les principales sources de blocages sexuels ?

Peur et anxiété

 

La peur peut se manifester de multiples façons lorsqu’il s’agit d’intimité : peur de ne pas être à la hauteur, de ne pas être assez désirable, de ne pas savoir s'y prendre, de décevoir son ou sa partenaire, de ne pas être assez performant, peur de ne pas avoir d'érection, d'orgasme...

 

Souvent l’anxiété face à la sexualité est aussi générée par des conditionnements familiaux, sociétaux ou religieux : le sexe est sale, malsain, fait souffrir.

 

L’industrie pornographique, basée sur la performance sexuelle n’aide pas non plus, hommes et femmes, à se sentir confiant car elle véhicule des clichés erronés sur la performance sexuelle.

 

 

Que faire ? Comprendre ses peurs et progressivement les dompter permet de se réapprivoiser son désir. Accepter que vouloir faire d’un acte sexuel une performance n’a pas de sens. Dans ce moment d’abandon, nous sommes là pour vivre un moment d’intimité et de connexion avec une autre personne.

 

La mémoire d'une douleur

 

Le souvenir d’un rapport sexuel douloureux, voir même, non consenti est une cause très fréquente de blocages sexuels. Un rapport sexuel qui a été marqué par la souffrance installe un réflexe de retrait du corps. Le cerveau ayant associé l’acte sexuel à la douleur, n’a plus envie de revivre cette expérience par peur d'avoir mal encore une fois.

 

La douleur d'origine peut être quelque chose d’aussi grave qu’une agression sexuelle, qu'un rapport sans préliminaires, qu’une rupture de frein ou d’hymen dans la douleur.

 

Viols, agressions, inceste ou d’autres évènements extrêmement traumatisants comme le décès du ou de la partenaire peuvent impacter fortement le fonctionnement amoureux et la notion d’intimité avec une autre personne.

 

 

Que faire ? Dans ce cas, il est important de se faire accompagner par un psychopraticien pour libérer le ou les traumas ayant créé ce souvenir aujourd’hui paralysant. En allant libérer le trauma, on libère les charges émotionnelles associées et les crispations du corps, pour approcher l’acte sexuel avec neutralité.

 

Les causes relationnelles

 

Si je ne me sens pas aimé, désiré, accepté dans mon couple et si la communication avec mon ou ma partenaire n’est pas au rendez-vous, mon corps rencontrera des difficultés à s’engager dans un acte amoureux. Parfois, même si nous ne sommes pas conscients de notre ressenti, notre corps lui le sera.

 

Certaines personnes, dans le couple fourniront « des efforts », pour faire plaisir à leur partenaire. Dans ce cas, la personne qui le fait ignore son ressenti et ses propres besoins. La sexualité étant un échange, ce type de sexualité ne conduira pas à l’épanouissement pour les deux partenaires car à terme le désir ne sera plus au rendez-vous.

 

Que faire ? Engager la communication avec son ou sa partenaire et apprendre à exprimer ce que l’on désire et dire NON lorsqu'on ne désire pas quelque chose. Ne pas se forcer pour faire plaisir à l’autre, mais lui exprimer ses attentes et besoins.

 

Le vécu, l’histoire familiale et les croyances limitantes

 

Beaucoup de femmes ont une vision de la sexualité comme quelque chose de repoussant parce que, dans leur famille, on le leur a toujours présenté de cette manière ou parce qu’elles ont été témoin des schémas biaisés de leurs parents sur le sujet. Il faut souvent du temps et de l’aide pour dépasser les croyances associées aux schémas qui nous ont été présentés.

 

Beaucoup d’hommes vont également souffrir de blocages sexuels parce qu'un homme de leur entourage leur a paru particulièrement malfaisant vis-à-vis des femmes de leur famille (souvent la mère). Ils se coupent alors de leurs désirs par peur de reproduire ce modèle agressif. 

 

 

Que faire ? Ici encore, la solution la plus efficace sera l’accompagnement thérapeutique afin d’aller à la source de ces moments de vie qui ont conditionné notre approche de l’intimité et libérer traumas et charges émotionnelles associées.

 

Retrouver une sexualité épanouie à l’aide des Méthodes PEAT (consultations à Quillan, Carcassonne et visio-conférence)

Avec le temps il y a toujours des moyens de dépasser les blocages sexuels pour trouver une harmonie. Parfois, on peut y arriver seul, mais souvent il vaut mieux demander de l'aide à un professionnel pour apprendre à se construire un fonctionnement nouveau qui intégrera la sexualité comme une partie très positive de la vie, et non plus comme une chose à éviter !

 

"le désir, c'est l'anticipation du plaisir et de la joie". MARGOT FRIED-FILLIOZAT

 

Si se projeter dans l’acte amoureux, c'est entrevoir du stress, de la douleur ou du malaise, l’acte sexuel n’est plus source de joie et d’épanouissement.

 

Afin de solutionner ce problème et de partir à la quête d'une sexualité qui soit épanouissante pour SOI, il faut faire le point et se poser les bonnes questions : Qu'est-ce que j'aime ? Qu'est-ce que je désire ?

 

Si des traumas, expériences non consenties ou croyances limitantes sont à la source des problèmes dans votre intimité, les Méthodes PEAT vous seront du plus grand soutien. Elles vous permettront de vous concentrer en séance sur la charge émotionnelle (et non la pensée ou l’analyse mentale) qui sous-tend votre problématique. Nous libèrerons, ensemble, ces charges émotionnelles traumatiques afin que seul le souvenir de l’évènement persiste, mais dénué du poids de l’émotion. Ainsi, l’événement traumatique semblera lointain, comme extérieur à vous et vous pourrez aborder naturellement votre sexualité avec un tout autre regard.

 

 

Dès la première séance, nous abordons en toute confiance vos difficultés en lien avec l’intimité et feront le point sur votre état afin de dégager les pistes de travail que nous aborderont en séance. Je vous reçois dans mon cabinet dans l’Aude à Quillan ou bien dans mon cabinet à Carcassonne (1 heure de Toulouse). N’hésitez pas à me contacter pour toute demande d’information ou pour prendre RDV.

 

Quelle est la différence entre un psychopraticien et un psychologue ?

 

Le psychopraticien et le psychologue sont tous deux des spécialistes de la relation d'aide. Cependant, les formations de psychopraticien et de psychologue diffèrent. Le psychologue est titulaire d’un diplôme universitaire, tandis que le psychopraticien a reçu une certification en thérapies brèves. Dans mon cas, je suis psychopraticienne en thérapies brèves (Méthodes PEAT) et en relation d’aide et j'accompagne mes consultants vers la libération émotionnelle, la libération de leurs traumas et de leurs croyances limitantes.


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